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Aspecte ale relaţiilor în familiile unor boieri şi negustori din Oraşul de Floci în secolele XVII - XVIII / Des aspects concernant les relations dans les familles de quelques boyards et négociants de Oraşul de Floci aux XVIIème - XVIIIème siècles

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Limba de redactare română
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Excerpt Par cet article nous avons essayé a donné de la vie a une des plus anciennes et plus importantes ville de la Valachie, important port commercial au Danube, Oraşul de Floci, là où les fouilles archéologiques ont relevé une riche et abondante vie du XIVème siècle jusqu’au milieu du XVIIIème siècle. Nous avons choisie pour cet étude une des plus importante famille qui on vécu ici jusqu'à la moitie du XVIIIe siècle, quand la ville a été détruite et brûlée par les armées russes pendant les guerres avec l’Empire Ottoman. Il s’agit de la famille Arion, famille qui s’est perpétué jusqu’au milieu du XXème siècle, ayant des importantes personnages pour l’histoire de la Roumanie. La famille Arion a commencé a être reconnu dans les documents depuis 1630, par Badea cupeţ de Braila, ami du prince Mathieu Basarab, qui achète le domaine Iasul, sur le chemin de Braila. Le petit fils de ce Badea cupeţ, Arion, le fils de Iane/ Ene cupeţ de Braila représente le fondateur de la famille. Il a déménagé de Braila, raïa ottomane, à Oraşul de Floci, en Munténie, et il a continué le métier de négociant, en accumulant une bonne fortune et il s’est marié avec Ilinca, la fille de Marie et petite fille de Hranite Blagodesco, un des plus importants boyards locaux. Par ce mariage il devenait le neveu par alliance de Cazan clucer, marié avec l’autre fille de Hranite Blagodesco, Mira. Les deux, oncle et neveu par alliance, se sont bien entendu et ils ont fait beaucoup d’affaires ensemble. Comme suite de son mariage avec Ilinca, condition qui lui a augmenté la fortune et lui a changé le statut social, Arion cupeţ a eu un fils, Dediu, et une fille, Măriuţa. Sa fille a été dotée a son mariage avec Sterie le capitaine avec une importante dote digne d’une fille de grand boyard, et son fils, non seulement qu’il l’a apprit a lire et a écrire, lui a lésé la fortune, mais il l’a initié de même dans les secrets du commerce. Arion est mort à l’age de 80 ans et son nom est devenu celui de la famille de ces descendants.
Dediu Arion est le premier de la famille qui s’est confronté avec des problèmes judiciaires, gardé du point de vue documentaire : il s’agit de la fortune de son neveu Costandin, le fils de sa sœur Măriuţa. Comme en 1725 toute la famille de sa sœur était décédée, en restant seulement la femme de Costandin, Marie, Dediu Arion prétendait que la fortune de son neveu retourne à la famille de celui-ci, d’après une vieille coutume de la terre. Mais son neveu avait fait un testament holographe à sa femme par le quel il lui lésait toute la fortune, testament qui ne pouvait être éludé, ainsi que Dediu a du le reconnaître par un autre document holographe, qui s’est gardé. Des problèmes judiciaires ont eu et ses trois fils - Dumitraşco, Toma et Mărgărit - qui, malgré le fait qu’ils ont continué l’activité commerciale, ont été impliqués aussi dans des fonctions administratives locales, comme par exemple celui de capitaine de Oraşul de Floci détenue par Mărgărit Arion. Les procès dans les quels ont été impliqués les descendants de Dediu Arion ont été déterminé par l’éclat des comportements humain reprochables générés par les luttes russo- ottomanes de la ligne du Danube, dans la région de Oraşul de Floci. La ville a été brûlée par les armées russes et les habitants, qui ne sont pas mort à cette occasion et ne se sont pas rendu malade, se sont enfuis. De cette situation ont profité les trois frères Arion, qui tenant compte du fait que la vie des citoyens de la ville n’été pas sure – beaucoup d’enfants sont resté sans parents, beaucoup de personnes on perdu les actes de propriétés – ont saisi plusieurs propriétés qui avaient appartenues a des apparentés plus proches ou plus lointains. Les procès ont eu lieu entre 1750 et 1784, pouvant être saisie, de même, l’organisation petit à petit de la justice de la Valachie et la spécialisation des boyards comme juges. Un de ces procès a été intenté par Anastasie, l’arrière petite fille de Cazan, contre Dumitraşco Arion et en suite contre sa femme, ainsi que, de même, contre le şătrar Toma Arion. Le procès, qui a duré plus de 30 années, avec des interruptions déterminées de l’état de guerre ou divers épidémies, a démontré que Dumitraşco et Toma Arion ont accaparé le domaine Sărata du département Ialomiţa avec des faux actes, domaine qui maintenant avait même changé de nom. Le deuxième procès a eu lieu entre Costandin postelnicel, petit fils de Dumitraşco Arion, avec les frères de sa mère, qui lui ont été aussi tuteur. Malgré le fait qu’il a perdu le procès, son oncle Toma Arion n’a pas voulu reconnaître qu’il a utilisé des faux actes pour accaparer la dote de sa sœur. La famille Arion a continué son existence avec plusieurs branches descendantes de Toma Arion, existence qui a cessé à Oraşul de Floci, parce que le lieu est resté désert et il a été donné comme domaine au Monastère de Saint Spiridon et au Monastère Marcuţa, et la plus grande partie des domaines de la famille Arion, du département de la Ialomiţa, a été acheté par d’autres grands boyards de la Valachie
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Titlul volumului de apariție
  • Muzeul Naţional; XIX; anul 2007