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Constantin Argetoianu: un cronicar modern / Constantin Argetoiano: Un chroniqueur moderne

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Excerpt Le 5 février 2.005 se sont accompli 50 ans depuis la mort de Constantin Argetoiano, un remarquable homme politique roumain de la première moitié du siècle passé, qui a laissé a la postérité plus de 25.000 pages de souvenirs et notices concernant le temps vécu et les événements qui se sont déroulé. Par la valeur documentaire et artistique d’une exceptionnelle importance laissée un descendants, il est considéré comme le plus important mémorialiste de la vie roumaine d’entre guerres. Partant des souvenirs de famille et notant avec une authentique vocation comme un vrai «chroniqueur moderne» - fait que nous le mentionnons aussi dans le titre du présent exposé – a peu près tout ce qui c’est passé de plus important pendant une vie pleine d’événements d’entre les deux grandes guerres mondiales, le mémorialiste a peint d’une manière très vif, très coloré et très véridique le tableau de la société roumaine de la fin du XIX-ème siècle et de la première moitié du siècle a peine passé pour nous. Descendant d’une vielle famille de boyards d’Olténie, mais aussi avec des ramifications sur le rive gauche de l’Olt, quelques unes d’un rang princier, Constantin Argetoiano est né la 3/15 mars 1871 à Craiova. L’éducation scolaire il l’a commençait en famille, le lycée à Bucarest et l’université à Paris, devenant docteur es médicine et licencié en droit et lettres. A par le roumain, sa langue materne, il parlait facilement le français, l’allemand, l’anglais, le latin et l’italien. Apres une carrière diplomatique des plus prodiges, a 42 ans il est entré en politique, devenant jusque vers la fin de sa vie un des plus actifs et influents hommes politiques de la Roumanie. Pendant diverses législatures d’entre les deux guerres il a été le titulaire d’a peu près tous les plus importants ministères, concilier royale, député, sénateur et vice-président du Sénat. En automne 1939 il a détenu la fonction de président du Conseil des Ministres. Et comme une ironie du sort, après que pendant son adolescence il a coquetait avec le socialisme, en 1950, au vénérable age de 79 ans, il a été arête par les communistes et jeté en prison sans être jugé et condamné. Il est mort dans la prison de Sighet le 5 février 1955 et il a été enterré dans le cimetière des pauvres. L’œuvre de Constantin Argetoiano a été récupéré et en grande partie publié par le professeur Stelian Neagoe. A peu près 11.000 des 35.000 pages écrites à la main sont ramassées dans plusieurs volumes de souvenirs significativement intitulés même par le mémorialiste POUR CEUX DE DEMAIN. Souvenirs du temps de ceux d’hier. Rédigés a un age avancé, ils concernent, sous la forme d’histoire, de descriptions et de fabuleux portraits humains, la période du commencement de son activité jusqu’an décembre 1934. Du commencement de 1935 jusqu’au mois de février 1944 Constantin Argetoiano a noté chaque jour tout ce qui lui paraissait digne d’être mentionné. Ces notes, d’une grande importance documentaire et historique, mais aussi très savoureuses du point de vue artistique et littéraire, il les a dénommé un peu plus tard Notes quotidiennes, titre retenu par le professeur Stelian Neagoe pour les sept volumes qui présentent la période 1935-1939. Parce que l’éditeur de ce véritable trésor memorialistique a des difficultés financières pour continuer la mission qu’il s’est assumé, l’auteur de cette présentation, qui a découvert dans les collections des Archives Nationales de Bucarest une partie des Notes quotidiennes, encore inédites, s’est permit a publier plusieurs fragments, parmi les quels aussi celui présent, d’une vraie importance pour l’histoire nationale en ce qui concerne la campagne de la Roumanie sur le front d’est, la récupération de la Bessarabie après le rapt soviétique de 1940 et d’autres aspects que l’historiographie communiste les a présenté d’une manière déformée ou même les a ignoré volontairement.
Paginaţia 281-301
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Titlul volumului de apariție
  • Muzeul Naţional; XVII; anul 2005