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Dans l'étude présente l'auteur expose la découverte dans le village Dunărea-Seimeni (dep. de Constanţa), d'un trésor contenant 14 hyperperes émises par Jean III Vatatzes (1222—1254). Les monnaies sont découpées sur la marge, ayant un diamètre de 20,5 mm X22,5 à 22,5 X 24 mm et un poids inscrit de 3,22 g à 3,64 g. L'analyse du titre, déterminé par la méthode du pont, permet de distinguer des monnaies de 16 3/4 carats (4 pièces) et de 18 114 carats (10 piècès), confirmant ainsi l'hypothèse qu'au temps de Vatatzes ont été effectuées des diminutions de titres de la monnaie nicéenne. Toutes les pièces du trésor ont sur l'avers des sigles ou différents signes généralement connus, à l'exclusion d'un seule qui porte les lettres „K" à gauche et „O" à droite. On observe aussi que deux monnaies (nr. 1 et 2) qu'ont le mêmme signe ont le même titre. La plupart des monnaies portent des graffitti comportant plusieurs traits, quelquefois des lettres ou des groupes de lettres, sur l'avers ou le revers, pratique fréquemment rencontrée dans la région du Danube inférieur et même au sud du Danube. En conclusion l'auteur fait valoir le rôle de la monnaie byzantine en ce qui concerne la stimulation de la production locale de marchandises et en même temps il indique les voies de pénétration de cette monnaie dans les contrées roumaines. |
